Alors c'est ça, c'est finit ? La France , faites par les rois catholique , tué par la république et ses sbires , mise à mort dans l'indifférence de son peuple par Bruxelles et la Grande Europe dont on nous vante sans cesse les mérites dans toute la médiature française et mondiale. L'europe qui préfère légiféré sur le calibre des tomates plutôt que de traiter les véritables questions. 
La France scandalisé par les graffitis sur les moqués mais qui laisse les églises être pillé dans l'indifférence générale. Voilà tel est mon pays, voilà la terre  ou j'ai la chance d'être né , et l terre qu'aujourd'hui , je songe à quitté tellement je suis malade. Je suis malade de l'islamisation grandissante de mon pays , j'ai peur, oui , j'ai peur , oui aujourd'hui , il ne fait pas bon être français de souche. Il me reste encore une solution, les états  unis bien sur , ou le canada ,ou mieux encore , la très sainte Russie , dernier havre de résistance chrétienne en Europe, la Pologne  peut être. J'ai envie de mettre des milliers de kilomètres entre moi et l'invasion maghrébine.
J'ai envie de vivre dans un pays ou l'on ne force  pas les femmes  à porté des cas à patate sur la tête pour des questions fondamentales.
Je n'aime pas les islamistes, pourtant je n'ai rien contre les musulmans.

A propos du héros.

Le héros est une figure emblématique de la  littérature, aussi loin que remonte l'écriture, il y à eu des héros, et même au delà, il devait surement se tenir des fêtes pour honorer le meilleur chasseur de la tribu.Si je m'interroge sur le héros c'est surtout dans les sociétés actuelle qu'est ce qu'un héros. J'avais ma propre définition du héros : un héros , c'est tout d'abord quelqu'un qui est mort.C'est vrai dans un sens ou la majorité des héros sont des gens  morts en accomplissant un acte au péril de leurs vies, c'est en la  perdant qu'ils acquièrent l'immortalité, mais pas dans le sens biblique du terme.Les pompiers morts dans le world trade center sont des  héros, chaque soldats de la coalition qui meurt en Afghanistan ou en Irak est un héros. Toute profession ou action au service de l'autre et qui transcende le danger est une action héroïque , les soldats russes de Stalingrad sont des héros , les habitants de Leningrad en 1943 sont des héros. Un acte héroïque doit être motivé par un idéal noble. Sauver une vie par exemple , ou en prendre.

Dans le  premiers cas , il convient de mettre des limites , être pompier ou policier ou bien médecin ne feras pas de vous un héros , ce sont par vos actes et par votre mort que vous deviendrez des  héros. Je prenais l'exemple des pompiers du 11 Septembre, qui bravant l'incendie , sont monté à pieds dans les tours , bien conscient des risques qu'ils prenaient. J'espère qu'ils n'ont  pas eu le temps de souffrir quand des millions de tonnes de gravats leurs sont tombés dessus, il est probable que non. Un pompiers qui sauve une vie en bravant un mur de flamme est un héros, mais un pompier qui fait la même chose et qui échoue l'est tout autant.

Le courage et l'héroïsme sont deux vertu différente mais semblable. Pour faire simple , disons qu'elle se situe sur le même cercle mais séparé par le diamètre du même cercle.Le courage  peut s'apprendre, s'acquérir, mais il peut  être inné. C'est ce que l'on enseigne à l'armée. Le courage c'est de continuer de pensé de façon rationnel quand son existence est menacé. Il peut  être aussi la résultante d'une honte par exemple , si l'on à commis un acte déshonorant et que l'on va se livrer à la police. Le suicide est un cas à part que je traiterais plus tard.L'héroïsme , qui est une vertu comme le courage , ne peut être ni appris ni acquis. L'héroïsme est au cœur  de chacun d'entre nous de la même manière que la volonté. Il existe autant d'héroïsme qu'il y à d'hommes. C'est cette femme qui se  jette devant ses enfants pour les protéger , c'est ce soldat qui tient sa position coute que coute contre l'envahisseur alors que ses camarades tombent autour de lui.

Ainsi, je suis mort, ou tout du moins, je ne vais pas tarder à l'être. Le calibre 7,6mm est entré dans mon aine, la balle à ensuite éclaté en trois morceaux, l'un est ressortit au niveau de ma colonne vertébrale , la sectionnant sur le coup, le second lui est allé se perdre dans mon estomac en crevant moi foie au passage. Le dernier lui à ravagé mon poumons droit avant de se frayer une sortie en frôlant mon cœur. Je ne suis pas mort sur le coup, un mauvais tir ,un mauvais tireur. D'où me viennent ces informations ? Je n'en ai pas la moindre idée, je le sais c'est tout. Je note le décalage entre mon corps physique et ma pensée. Mon cœur pompe encore le peu de sang qu'il me reste dans le corps, tout les voyants sont au rouge ,le corps ne comprend pas, il tente de colmaté les brèches, le corps envoie des millions d'information, qui n'arriveront jamais à destination, c'est très con quand même le corps des fois. Ainsi je vais mourir, il me semble que j'essaie encore de respirer, plus par habitude qu'autre chose, une écume rouge se forme au coin de ma bouche alors que je  me noie dans  mon propre fluide vitale. Alors c'est ainsi, force est de constaté que l'on m'avait menti, évidemment , car la mort du corps est l'ultime expérience, qui ne  peut  être raconté. C'est le secret bien gardé par  le territoire. Alors qu'inconsciemment je lutte , je constate le temps semble s'étirer, se distendre, chacune de mes respirations rauque semble durée des  heures , comme si mon cerveau expulsait toute l'existence qu'il me restait. Je peut décrire les battement d'ailes des mouches attiré par mon odeur, elle plane autour de moi , comme en apesanteur.

J'ai l'impression  que je suis à un moment charnière. On dit que tout est révélé au moment de la mort , on dit aussi que l'on cesse simplement d'exister et que le corps pourris , tout connement. Saloperie de rationalistes. Je suis au cœur du secret, je suis le secret, mon corps est le secret gardé par les morts. Je suis la réponse à l'ultime question de l'humanité. Quand on meurt , quelque chose se passe. Je n'ai jamais été croyant, ma vie ma fais douté de l'existence de Dieu au moment même ou se créait en moi l'interrogation. Dieu existe? Dieu EST ? J'ai tué beaucoup d'hommes , énormément. J'ai vue l'horreur de la guerre, j'ai vue les charniers à ciel ouvert, bien souvent, j'ai sentit la mort à mes côté. Je me trompais, ils se trompait, tout le monde se trompe, intentionnellement ou non. Pour ceux ou celles qui capteront cette exégèse mentale quelque pars si cela est possible, je m'appelle Aaron Emmanuel North. Ma vie , ou tout du moins , ce que pensais être ma vie , est plutôt simple à résumé. AEM : 1988 – 2032   Tout ce bouscule dans ma tête , par quoi commencer ? Que dire. Mon connard de sergent chef m'aurait conseillé d'aller  à l'essentielle, et après il se serait bien foutu de ma gueule, j'adore mon sergent chef. Je suis né en 1988 en France, bien après sa mort. Si je  puis m'exprimer ,  j'ai grandis sur le cadavre putréfié d'un rêve mort né, la France , L'europe , toute ces conneries. J'ai suivi un cursus biologique avant de me réorienter en Architecture. Après ma licence , j'ai fait un passage dans l'armée de terre ou j'ai appris les bases ce qui serait mon futur  métier. J'ai servis dans un régiment du génie en Afghanistan auprès des derniers hommes libre de la terre. J'ai construit des ponts et des routes , le tout sous les tirs sporadique des talibans. Je suis resté cinq ans , le temps de faire le tour et j'en suis reparti, avec plus d'interrogation sur ma vie qu'en y entrant. J'ai fait quelques petits boulots pour des journaux de province  merdique, j'ai tenter d'écrire un livre , refuser par toute les maisons d'éditions, avec le recul , ce  n'est pas plus mal. Puis vint 2017 , les Balkans. En 1995 , j'avais donc sept ans , c'est le premiers conflit dont  je  me souvient : image flou de tir de roquettes , des bombardement américains , pas grand chose. Un ancien collègue de l'armée m'appelle et me dit que ça  y est , les forces de l'OTAN vont intervenir en Serbie, cette fois pour repoussé la  poussé des islamistes de tous bords. Les Balkans sont en flamme , il suffisait d'ouvrir un e-journal pour le savoir , ou bien allumez la télévision.

Aujourd'hui 8 Avril , je reprend le cours de ce  journal interrompu il y a des années pour faute de dépression. Car il s'agissait vraisemblablement d'une dépression. Je ne l'explique pas autrement , je n'ai rien écrit qui soit digne de ce nom depuis tellement longtemps que c'est avec appréhension que j'ouvre ce blog , que je l'inaugure dans la guerre , dans une joie de façade. On peut tenir un journal comme on tient un bunker ( Maurice Dantec ).
Cette phrase n'a jamais été aussi vrai qu'en ce début 2010, au moment  ou le président de la république prend doucement le contrôle des médias. Il est probable que nous ne verront rien venir , et lorsque nous nous réveilleront , il sera trop tard, beaucoup trop tard. Je tient ce  journal , l'escouade prend  place sur sa position , les soldats creusent leurs positions, ont  installent les pièges et les contre-mesure , les armes sont pointé sur  l'ennemi, qui si lui ne me vois pas, est tout à fait visible.

Je reprend le court de ce journal dans les derniers sursaut d'agonie de la France , incapable de porter à bien un véritable projet européens, vérolé par deux cent ans d'ingérence total par les bourgeois génocidaire qui n'ont pas su canaliser la formidable énergie, trop occupé sans doute à se tirer dans le ventre les  uns les autres et à piller la jeune république morte-née , ce fatidique jour de 1789. Dans les semaines à venir j'aurais tout loisir de tirer dans la république ( ou ce qu'il en reste ) , de cracher mon fiel sur la planète entière.
Cette forteresse n'a pas d'existence propre sinon celle sur les bases de données de mon hébergeur pour sa partie visible , et dans ma tête pour sa partie invertie, caché, secrète. Je suis un bastion inexpugnable, je vous emmerde. Je lèverais les yeux au ciel dans la prière d'être sauvé, regardant les avions passé dans la nuit , autant d'anges de métal près à fondre sur le monde. J'en profiterais pour tenter d'apercevoir 2010 GA6 , l'astéroïde de ving et  un mètres de long qui frôleras la terre ce soir vers 23h. Ce soir j'attends un signe , la chute, le choc.